Depuis plusieurs mois, le constat est sans appel : sur le front écologique, social ou démocratique, tout s’effondre. Et le feuilleton politique de ces dernières semaines n’est pas pour nous rassurer !
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Alors si vous aussi, vous ne demandez qu’à être entendus. Que votre rêve le plus fou est de compter les victoires plutôt que les reculs. Que vous êtes plutôt de nature optimiste, mais que là quand même, c’est chaud. Que vous aimiez la politique ou non. Que vous vous sentiez légitimes ou pas.
Vous êtes au bon endroit !
Car OUI les solutions existent. Ce référendum en est la preuve.
14 mesures qui partent du quotidien pour reconquérir la base : la qualité de notre eau du robinet, un droit à une alimentation saine pour tous et toutes, l’habitabilité de nos logements, une vraie justice sociale, climatique et fiscale...
Une proposition portée par un collectif citoyen inédit et apartisan réunissant plus de 20 organisations de la société civile aux compétences complémentaires. Et qui répond aux 88% de Français et Françaises désireux d’un référendum pour porter leur voix auprès des institutions.
Mais nous n’y arriverons pas seuls !
Pour décrocher ce RIP, nous devrons nous serrer les coudes en embarquant 10% de la base électorale, soit 4,8 millions de personnes.
La marche est à la hauteur de l’enjeu.
Alors vous aussi, rejoignez la base.
Signez pour soutenir ce référendum !
Plus de 20 organisations à l'initiative de ce mouvement
Incarnées dans 14 mesures qui impactent notre quotidien
Il est urgent de protéger nos sources de captages d’eau dont les seuils de pollution dépassent les seuils d’alerte et de renforcer les contrôles.
Il est nécessaire d'organiser notre sobriété hydrique sur tout le territoire, pour arriver à une baisse de 10% des prélèvements en eau douce d’ici 2030 et de 25% d’ici 2040.
Il devient urgent d’inscrire le droit à l’alimentation dans le droit français via une loi-cadre pour un accès à des cantines de qualité dans les établissements collectifs, plus de transparence et une régulation des marges dans la grande distribution, une généralisation des expérimentations des Sécurités Sociales de l’Alimentation…
Il est important d’avoir un outil simple qui aide les consommateurs à faire des choix alimentaires bons pour leur santé et ainsi lutter contre les maladies chroniques liées au surpoids et à l’obésité.**
Alors que la précarité énergétique d’été devient une nouvelle forme de mal-logement, il est vital d’obliger les bailleurs à répondre aux demandes des locataires pour s’en prémunir.
En plafonnant l’indice de révision des loyers (IRL) à 1% (contre 3,5% aujourd’hui) et en pérennisant puis renforçant le dispositif d'encadrement des loyers en zones tendues. Pour une économie de 400€ par an d’ici 2030 et un encadrement permettant de limiter les « compléments de loyer » aux seuls logements dont l’étiquette énergétique est A, B ou C et disposant de protections solaires extérieures pourront.
Il est important d’encadrer officiellement la publicité sur les biens et services ayant un impact santé et environnemental excessif.
Afin de donner aux générations futures les clés pour comprendre et agir face aux crises environnementales et à leurs impacts sociaux. Ce programme de formation complémentaire mettra en lumière les inégalités d’impacts, dans la société française mais également entre pays en voie de développement et pays développés.
En instaurant un impôt plancher sur la fortune pour les 0,01% des contribuables les plus aisés, possédant plus de 100 millions d’euros - soit 1800 foyers fiscaux - afin de garantir qu'ils contribuent à hauteur d'au moins 2% de leur patrimoine.
En augmentant la taxe sur le transport aérien de passagers les plus aisés (classe affaire) et en incluant dans son assiette les vols de jets privés ne faisant pas l’objet d’une exploitation commerciale.
Il y a donc un impératif de justice sociale à plafonner les frais bancaires, notamment pour protéger les familles aux revenus “moyens inférieurs” les plus exposées.**
Il devient essentiel d’élargir l’assiette de la taxe et d’augmenter son taux, passant de 0,4 % à 0,6 %. Une proposition qui pourrait rapporter jusqu’à 57 milliards par an.***
En taxant la valeur boursière, c’est-à-dire la valeur au moment du rachat. Une telle taxe serait à même de dissuader les rachats d’actions, opération boursière qui vise à faire gonfler artificiellement la valeur des actions restantes pour faire grimper la valorisation des entreprises et enrichir les dirigeants grâce aux stock-options.
Le rendement de cette taxe est estimé à près de 1,2 milliards d’euros.****
Si nous voulons être à la hauteur du défi qui nous attend, il est vital d’aligner les moyens financiers avec les objectifs de la politique environnementale (rénovation des logements, transports moins polluants, transition agricole, etc).